Les femmes
Pour ton cœur dresse des barrières
Ainsi tu éviteras les regrets
Fais attention aux mégères
Tu tomberas dans leurs rets
L’amour des femmes aux mœurs légères
Te laissera, tout, désemparé
Sois homme racé er fier
Si tu ne veux pas être bête de trait
Arrogance
Passant devant une fontaine
J'ai vu une silhouette hautaine
A qui j'ai demandé de me désaltérer
Quand sa jarre était pleine
Elle me répondit avec haine
Laissant mon cœur désespéré
Malheureux qu'est ce qui t'emmène
Pourquoi t'attaquer à une reine
Oh toi l'indigne le désargenté
La danseuse
Dans l’arène elle s’élance
Exécute quelques pas de danse
Elle est telle une statue d’airain
La belle parfumée d’encens
Se trémoussent dans tous les sens
En exposant ce qu’elle a de plus féminin
La dédaigner est une insolence
Moi j’en souffre en silence
Rêvant de dormir entres ses mains
La repentie 3
Tu n’es pas comme Tassadit la vipère
Qui allait au-delà des barrières
Pour entretenir ses moutons
Jeunes fille les mœurs légères
Elle bafouait les lois coutumières
Pour se payer du bon temps
Oubliant ce qu’elle fit naguère
Elle devient comme un monastère
Elle ne parle que de religion
La repentie
Tu n’es pas comme Tassadit la bergère Qui fripée laide et austère Nourrissait ses bêtes de chardon
Dans sa jeunesse aventurière Elle allait au-delà des rivières A n’importe qui levait ses jupons
Maintenant elle fait ses prières Comme une sainte tutélaire Oubliant ce qu’elle fit de cochon |
Variante :
Tu n’es pas comme Tassadit la mégère Aux piètres manières Paissant ses bêtes dans les près
Dans sa jeunesse que savait-elle faire Si ce n’est lever les jambes en l’air Tout le monde connaissait ses secrets
Maintenant elle se dévoue aux prières Feignant d’avoir tout oublié d’hier Elle se prend pour une icône sacrée |
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