LES FLEURS DU MALE

POESIE

posté le 07-08-2013 à 19:45:42

Les femmes

 
 
 
 
 

    Les femmes

   Pour ton cœur dresse des barrières

Ainsi tu éviteras les regrets

Fais attention aux mégères

Tu tomberas dans leurs rets

L’amour des femmes aux mœurs légères

Te laissera,  tout,  désemparé

Sois homme racé er fier

Si tu ne veux pas être bête de trait

 


 
 
posté le 07-08-2013 à 19:44:39

Arrogance


     Arrogance

 

Passant devant une fontaine

J'ai vu une silhouette hautaine

A qui j'ai demandé de me désaltérer

 

Quand sa jarre était pleine

Elle me répondit avec haine

Laissant mon cœur désespéré           

 

Malheureux qu'est ce qui t'emmène

Pourquoi  t'attaquer à une reine

Oh toi l'indigne le désargenté

 


 
 
posté le 07-08-2013 à 19:43:32

La danseuse


  

 

 

 

 

 

 

  La danseuse

 

Dans l’arène elle s’élance

Exécute quelques pas de danse

Elle est telle une statue d’airain

 

 La belle parfumée d’encens

Se trémoussent dans tous les sens

En exposant ce qu’elle a de plus féminin

 

La dédaigner est une insolence

Moi j’en souffre en silence

Rêvant de dormir entres ses mains

 

 


 
 
posté le 07-08-2013 à 19:42:07

La repentie 3

 

         

 

 

 

 

 

La repentie 3

 

Tu n’es pas comme Tassadit la vipère

Qui allait au-delà des barrières

Pour entretenir ses moutons

 

Jeunes fille les mœurs légères

Elle bafouait les lois coutumières

Pour se payer du bon temps

 

Oubliant ce qu’elle fit naguère

Elle devient comme un monastère

Elle ne parle que de religion

 


 





 

 


 
 
posté le 07-08-2013 à 19:37:57

La repentie 1

 

   

 

 

 

     La repentie

 

Tu n’es pas comme Tassadit la bergère

Qui fripée laide et austère

Nourrissait ses bêtes de chardon

 

Dans sa jeunesse aventurière

Elle allait au-delà des rivières

A n’importe qui levait ses jupons

 

Maintenant elle fait ses prières

Comme une sainte tutélaire

Oubliant ce qu’elle fit de cochon

 


 

Variante :

 

Tu n’es pas comme Tassadit la mégère

Aux piètres manières

Paissant ses bêtes dans les près

 

Dans sa jeunesse que savait-elle faire

Si ce n’est lever les jambes en l’air

Tout le monde connaissait ses secrets

 

Maintenant elle se dévoue aux prières

Feignant d’avoir tout oublié d’hier

Elle se prend pour une icône sacrée

 


 
 
 

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