Le rêve trompeur
Le rêve me joue des tours
J’ai vu Yamina en plein jour
Mon cœur s’en trouva apaisé
Vêtue de ses plus beaux atours
Elle me lança un bonjour
Cette colombe apprivoisée
Il n’y a que solitude qui m’entoure
Comme un prisonnier dans sa tour
Au réveil le mirage s’est brisé