L’adversaire
Quand il vint demander ta main
J’ai maudis mon destin
Je savais qu’il te ravirait
En ce sinistre samedi matin
Il m’écarta du chemin
Que me reste-t-il à espérer
Avec un air arrogant hautain
Il me toisa avec dédain
Quant il est venu t’emporter
Commentaires
Bravo,j'adore belle poèsie
Amitié